De nouvelles études publiées récemment permettent de montrer l’avancée que la médecine a faite concernant le cancer de l’ovaire. Même si les causes restent toujours ignorées, on sait qu’il existe plusieurs cancers de l’ovaire différents.
S’il y a en France moins de 5000 femmes touchées chaque année, ce cancer et souvent détecté à un stade avancé.
La découverte de l’équipe de Fatima Mechta-Grigoriou permettra de mettre en place un test qui aidera les oncologues à adapter le traitement en fonction de la nature et le stade de la tumeur.
Deux signatures génétiques ont en effet été découvertes :
- La signature « stress oxydant »
- La signature « Fibrose »
La première facilite un meilleur diagnostique et la seconde la capacité à se propager. Si la tumeur présente l’une ou l’autre des signatures, le médecin pourra adapter son traitement.